Le pouvoir d'une branlette.
Le sexe bien plus fort que le pouvoir, surtout quand il est pratiqué par des désaxés.
Le président doit certainement commencer à penser que pour lui et LREM, tout est fichu, pour les prochaines élections municipales mais aussi pour les présidentielles de 2022.
Tout ça à cause de la branlette de Benjamin Griveaux qui l'a incité à se débarrasser d'Agnès Buzyn qui commençait à le gêner avec ses alertes négatives sur le coronavirus et pour lui infondées. Un libéral pense d'abord à lui, à court terme, plutôt qu'au peuple à long terme. Il me fait penser à certains hauts gradés de France Télécom que j'ai côtoyés en 1999 et qui ne voulaient jamais entendre les ouailles se plaindre. S'il y avait un problème, il fallait se débrouiller dans son coin et ne surtout remonter à cette hiérarchie que les bons points. Pour en revenir au pouvoir du sexe pratiqué par des malades, des déviants devenus fous, il suffit de penser au cas de Dominique Strauss-Kahn, mort politiquement, pour entériner ce pouvoir. La société humaine a exclue du domaine public les comportements sexuels purement « animaux » de domination du mâle sur la femelle.
Alors pour Macron, son avenir politique ressemble à celui de DSK car il s'est entouré d'incapables ou a voulu les manipuler pour son seul intérêt. Les « casseroles » qu'il trimballe font vraiment beaucoup trop de bruit. Et je suis persuadé qu'on n'en entend que la moitié aujourd'hui par rapport à ce qu'il aura à traîner à Noël.
Bruno