j’ai retrouvé CitronMag

Mais seulement le N°3, je crois que le N°4 n’a jamais paru (d’ailleurs j’avais envoyé un texte à la rédaction) :
(photos en petit clin d’œil à http://lemonandco.blogspot.com/ qui aime aussi le Lauragais où habite mon frère entre Venerque et Saint-Léon)





J’ai aussi retrouvé mes projets de publications qui me semblent toujours d’actualité :
[Proposition de texte à la rédaction de CitronMag, recopié le 13/11/04, relu en 7/2005 à réactualiser !

Thème: UN TRAVAIL POUR TOUS

mon opinion: LE CHÔMAGE, premier gaspillage de notre société.

Après trois ans de galère, je voudrais apporter mon témoignage pour nos gouvernants, pour les organismes sociaux et professionnels (syndicats, medef,....) et pour les communicants (télé, radio, presse, internet) comme votre magazine ou des émissions télévisées comme « Combien ça coûte ».

Responsable Qualité de Service du Système d'Information, au sein d'une Unité Départementale d'Ile de France d'une multinationale, j'ai été « remercié » à l'occasion d'une fusion. En activité, ce qui m'importait alors consistait à l'amélioration de la satisfaction des utilisateurs des applications informatiques. En recherche d'activité, j'ai côtoyé des associations de cadres dans la même situation que moi, motivés et exploitant leurs réseaux de connaissances. Je contribue également au fonctionnement d'autres associations oeuvrant pour le soutien aux plus démunis, en tant que formateur bénévole bureautique et internet.

Mais quel gâchis je constate au contact de ces personnes, compétentes, motivées, mais privées de leurs possibilités de produire des richesses pour la nation. Ces cadres supérieurs s'étaient plus investis que moi dans leurs études (des BAC+8 alors que je n'ai que BAC+3), certains avec + de 25 ans d'expériences (je n'en ai que 18). Ils recevaient des indemnités bien supérieures aux miennes (18 mois à ~1800€ net/mois).

Cette dépense improductive de la société (payée pas les assedic, prélevée sur les cotisations) me semble pire que tout (je l'assimile à l'exemple fou de laisser tourner les moteurs des voitures tout le temps, même quand on ne s'en sert pas la nuit). Alors je trouve votre thème « UN TRAVAIL POUR TOUS » pas assez ambitieux. Sans supprimer le coté social de l'assurance chômage, j'estime que la société devrait s'améliorer et proposer « UN TRAVAIL POUR TOUTES LES COMPÉTENCES ».

Mais j'ai vu des annonces d'entreprises qui recherchaient un Responsable Qualité en CES 18 mois, payé 30 à 65% du SMIC.
Il faut un minimum de cohérence et de dignité

Dans mon cas, la société a continué son travail de sape. 1 an après ma perte d'emploi, j'ai divorcé, puis début 2004 je suis passé en ASS (allocation spécifique de solidarité) à 422€/mois. Maintenant je touche le fond, SDF depuis six mois. Je rève de développement durable, de prise de conscience des instances dirigeantes.

Mais partout où je trouve un peu de réconfort, je ne vois que gaspillage, gaspillage..... Même dans ma famille que j'ai rejoint en Midi-Pyrénées et qui m'aide. Je vous propose mes pensées sur le gaspillage en général dans un autre message en commentaires sur votre article « Construire l'avenir ».

J'espère qu'en développant votre thème « UN TRAVAIL POUR TOUS » vous serez plus exigeant car plus lucides. Il faut proposer un travail décent pour tous, et au service de la sauvegarde de l'humanité. Il faut travailler à accélérer le projet ISO14001 de la terre (protocole de Kyoto). A ce propos, grand bravo pour l'éditorial de Monsieur Clovis Taittinger dans le magazine N°3.

Merci de penser à moi au sein de votre réseau de gestionnaires éclairés. Et continuez de montrer l'exemple en vous améliorant car votre magazine ne semble pas imprimé sur du papier recyclé, à moins que vous n'ayez omis de le mentionner.
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[Proposition de texte à la rédaction de CitronMag, recopié le 13/11/04, corrigé en 7/2005 et il faut le finir !

Commentaires sur votre article « Construire l'avenir » citoyen durable, mode d'emploi.

Je suis d'accord pour être « citoyen durable », mais pour moi c'est facile puisque je m'intéresse à la qualité depuis sept ans.

Pour tous les autres, il y a un moyen imparable et même je dirais obligatoire car sans lui cela ne fonctionnera pas. Je pense à l'exemplarité.
Qui doit être exemplaire ?    Tous ceux qui communiquent.
Combien de journaux et de magazines sont imprimés sur du papier recyclé ?
Quelles sont les administrations engagées dans une démarche ISO 14000 ?
Est-ce que les télévisions se préoccupent d'adopter un comportement durable ? Je dirai non au vu des différentes émissions, notamment de variétés qui abusent de lumières (vous préconisez que les citoyens ne laissent pas leurs appareils en veille). Je ne conteste pas les études de l'ADEME mais j'aimerais une réelle étude des consommations:
Quelle est la consommation annuelle d'électricité du Palais de l'Elysée ? Et quelle est sa justification ?
Quelle est la consommation annuelle d'électricité pour l'éclairage nocturne de la Tour Eiffel ?

Quelle est votre sentiment sur l'industrie cinématographique ? Quand je pense à tout ce que consume un film style « James Bond » pour uniquement nous distraire (et encore je manque d'exemples significatifs).
S'il faut sérieusement s'engager dans l'économie de l'énergie, doit-on se limiter ? faire de la ségrégation (pas touche aux édifices publics, etc.).

Venons en à l'eau, que je place en priorité de besoin d'évolution des attitudes.
Dans votre texte d'introduction, vous dites qu'il faut agir pour sauvegarder la planète. Ce discours me semble trop abstrait pour la grande majorité des gens non impliqués. Je préfère parler de sauver les hommes, de « sauver sa peau ». Car mes contemporains (j'ai 45 ans) seront encore nombreux vivants en 2025. L'eau est une des richesses indispensables à la vie, qui contrairement à l'air a un prix. Que se passera-t-il quand le litre d'eau potable coûtera le prix d'une place de cinéma ?

Voici un exemple qui me désole; à l'ANPE cadres de Toulouse, j'ai constaté que le robinet du lave main des toilettes était si dur à fermer qu'un mince filet d'eau coulait en permanence. Je l'ai signalé et on m'en a remercié. Un mois plus tard, le robinet coulait toujours. J'en ai fait part à la responsable qui m'a répondu : « Ici, on ne s'occupe pas de la quincaillerie ! ».

Votre point 3 indique qu'un goutte-à-goutte égale 4 litres/H . J'estime que la fuite à l'ANPE (et encore quand on veut bien se donner la peine de serrer très très fort le robinet) représente 1 litre par minute.
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Bruno

Comments

[cmaryse020]

Ton post ne dit pas si la fuite a été réparée. Mais tu peux rétorquer à la responsable que si elle ne s'occupe pas de la quincaillerie, en l'occurrence là il s'agit de plomberie et que si elle s'y connaît autant pour caser les chômeurs ils ne sont pas prêts à retrouver du travail !
L'ANPE comme beaucoup d'administrations pour ne pas dire la majorité a dû se recentrer sur son métier et externaliser tout ce qui gravite autour, la maintenance des matériels et des bâtiments entre autre. Et pour cela, il existe une convention avec une entreprise qu'il suffit d'alerter.
Que le mauvais esprit ne l'empêche pas de faire un geste citoyen !
MC