La série de l'été la plus nulle de toutes

Qu'est-ce qui a pris aux rédacteurs du journal le monde de publier une série en 5 épisodes, du 13 au 17 août, sur l'univers des ultrariches ? Ils voudraient mettre le feu aux poudres …. à leur façon ???

Je ne me sens pas montré du doigt, ce serait plutôt le contraire. Extraits choisis : Episode 1 :«...Le magnat vit dans une tour privée de 27 «étages, les 6 premiers niveaux servent de garage à près de 600 voitures, des bolides style Ferrari et consœurs….29 chambres, piscine olympique, fitness...3 héliports….et 600 esclaves» . Episode 2 : «... Moët-Hennessy reçoit ses clients d'exception en grand secret pour des achats coup de cœur qui peuvent atteindre en une soirée la valeur d'un beau pied-à-terre parisien» . Episode 3 : « Les enfants de milliardaires débordés et souvent en voyage sont internes dans des écoles où l'inscription peut dépasser 100000€/an ». Episode 4 : « L'arrogance et la richesse, …les grandes fortunes recherchent l'exceptionnel et l'original quel qu'en soit le prix. Le marché de l'immobilier réservé aux milliardaires défie les lois de l'économie ». Episode 5 : «...le concierge de luxe des méga-yacht de la jetée Lucciana à Antibes accepte toutes les sollicitations hormis la prostitution et la drogue ». Concernant ces toutes dernières informations, drogue et prostitution, c'est consternant de voir que cela finit la série en désavouant ces 2 principales déviances des ultra riches. Mon avis, effectivement à ce niveau on ne parle pas de prostitution mais d'esclavage, et pour la drogue elle fait tout simplement parti du menu journalier pour entretenir performance sexuelle et folie, comme un simple médicament.

Le journal Le Monde s'adresse aux riches qui lorgnent sur les multi milliardaires. Ce serait donc une série pour les faire rêver, et peut-être les motiver pour tondre un peu plus les moutons #giletsjaunes. Je n'ai qu'un rêve suite à ces publications et « révélations » : que la foudre divine et la volonté du peuple s'associent pour rétablir un minimum de justice économique.

Bruno