La fin du pétrole

Yann Arthus-Bertrand nous a montré son opinion de la prochaine fin du pétrole.

Il n'a pas osé associer les images de notre société de consommation à celles de la misère mondiale mais aussi à celles de la perte de la biodiversité. Notre appétit de pétrole est tueur, de tout ce qui vit, et tuera même la terre. Une de ses rencontres a bien estimé que les guerres au moyen orient sous tendaient la main mise sur son pétrole.

Philippe Stark s'émerveille de la noblesse du plastique. Il aurait pu dire que tout ce qui vient de la terre est noble, sauf les humains. Car si on peut être d'accord sur les qualités du plastique, l'utilisation qu'en fait l'homme mérite l'enfer (juste l'exemple des poches de plastique en pleine mer qui tuent les tortues et les dauphins.)

À Las Vegas, Yann Arthus-Bertrand semblait s'amuser de l'incrédulité des gens interviewés.

Ma force de conviction m'interdit de mettre les pieds dans de tels lieux comme cette cité ou celle de Macao, mais même tout près de moi un simple casino. Une émission de télévision comme celle là renforce mon défaitisme.

Les hommes au pouvoir sont comme des châteaux de cartes. Ils en rajoutent sans cesse pour renforcer la structure mais le choc de chaque nouvelle risque à chaque fois d'ébranler l'ensemble. Il n'y a pas d'autre solution que d'attendre le « patatras ». Le pire viendra, rapidement, de nombreux climatologues en sont convaincus.

Alors, verrons-nous la fin du pétrole ?

Je réponds NON, la fin du monde sera plus rapide. L'épidémie de cupidité n'a épargné aucun humain puisqu'elle se transmet directement par les gênes.

Bruno