La bourse peut vivre.
Ou plutôt elle peut survivre.
Il suffit (excusez le YAKAFOCON mais je ne suis ni Jean-Claude Trichet ni Dominique Strauss-Khan) de la replacer sur ses fondamentaux.
Je pense qu'elle a été créée pour contrôler les opérations d'investissements et écarter les fraudes et malhonnêtetés. Les gangsters de la finance ont fait preuve de patience et réussit petit-à-petit à la mettre « à leur botte ». Aujourd'hui, la justice « divine » les dépasse. Ils mordent la poussière, mais ils entraînent le monde avec eux.
Sans tarder comme la banque suisse UBS vient de le faire, il faut abuser de transparence.
Imposer une limite d'une seule opération boursière journalière sur un titre (vente ou achat) peu importe le montant, et que cette transaction soit publique et affectée à une personne physique (exemple un PDG au nom de son entreprise).
Bien entendu, pas question de posséder 10000 comptes pour faire 10000 transactions par jour.
De toutes façons, il n'y a pas ''36000'' possibilités:
- survie par transparence
- mort par opacité
Programme pour les prochains mois:
- suppression complète du secret
bancaire Suisse
- suppression complète du secret
luxembourgeois (liquidation de Clearstream et consœurs)
- isolement des paradis fiscaux
- contrôle de l'historique de tous les
blanchiments d'argent
- gel des avoirs des comptes illégaux
- ré appropriations aux états des
magouillent financières
…..
J'en oublie, c'est évident.
En conclusion, par réalisme et rejet d'utopie, je préconise la mort de la bourse, puisque déjà de nombreux titres étaient hier ponctuellement à 100% de chute donc = 0.
« Le tronc est pourri, les branches ne tiennent plus, les racines ne trouvent plus d'eau et la terre est viciée » => le prochain coup de vent couchera tout le monde.
Bruno