Bravo Madame Yvette Jobard
La vie ne se monnaie pas.
Les assassins doivent comprendre avant d’être punis, et ils doivent presque d’eux-même s’exclurent de la société.
Dans cette affaire, le mari capitaine ne reviendra pas. Alors j’approuve que le cargo turc responsable ne revienne pas non plus, et reste à quai, même si cela coûte 10000€ par jour.
Madame Jobard, vous nous donnez une leçon d’humanité et de solidarité car j’estime que votre conviction pense d’abord aux marins vivants et aux dangers qu’ils courent à croiser des assassins en mer. Si j’étais avocat, je plaiderais pour que ce cargo soit donné à une association humanitaire qui aide les marins, et j’interdirais de circulation pendant 10 ans dans les zones côtières Françaises les cargos de l’armateur responsable.
Bruno