L’esclavage moderne progresse

L’élan de la honte n’a plus de limite, il atteint ses records.
EconomieBourse20Minutes ( record bourse wall street)
Le proverbe « L’appétit vient en mangeant » devrait lui permettre d’en finir avec l’espèce humaine.

Les luttes de pouvoir sont exacerbées en cette période électorale. Les nombreux militants ne regardent pas à la dépense pour gagner à tout prix.

Continuez, ne vous gênez pas, mais sachez que l’histoire ne vous donnera jamais raison. Vous n’êtes que des « fourmis », des vermisseaux sur Terre.
Et votre pouvoir actuel ou futur ne représente même pas un feu de paille pour la force intérieure terrestre.

Je n’ai même plus envie de parler de « dérèglement climatique » mais plutôt de remise en ordre des molécules. Le grand bouillon terrestre devrait tout arrêter pour redistribuer les cartes et recommencer une partie.

Cela ne me fait absolument pas peur puisque je ne m’en sens pas du tout responsable.
Devant l’effervescence des français pour le premier tour des élections, j’ai abandonné la défense du développement durable et je passe désormais au concept de DECROISSANCE.

D’accord il faut aller voter, bravo aux 85% de français qui l’ont fait, mais pourquoi tant de gaspillage d’énergie après l’annonce des résultats (et tout au long de la journée : des milliers de photographes/journalistes ; des millions de photos, des déplacements discontinus). Je suis allé voter à 14H, j’ai eu 5 minutes de trajet à pied, 5 minutes de présence dans le bureau de vote et 5 minutes de retour à pied. Cette sobriété m’a semblé tellement marginale qu’il m’a fallu cet article sur le record de la bourse pour me rebeller sur l’inconscience humaine.

Samedi, en projection gratuite à l’ARPE, j’ai vu le film d’Al Gore « Une vérité qui dérange ». Je l’ai trouvé banal. Savez-vous qu’à la suite de la lave du piton de la fournaise qui coule dans l’océan, des poissons morts de chaleur dans les bas fonds remontent à la surface et sont totalement inconnus de nos taxinomistes. Nous savons si peu de choses de notre terre, nous devrions l’écouter, la comprendre, l’aimer au lieu de la déposséder et de la pousser à bout.
Aujourd’hui 23 avril, il faisait 30° à Toulouse. Gageons que début août nous aurons des températures Sahariennes approchant les 50°.

Bruno